17% des sportifs de haut niveau de 16-25 ans présentent un risque de dépression.
24% souffrent de troubles anxieux généralisés et 44% de troubles du sommeil.
Tels sont les résultats d’une étude de Harris Interactive, réalisée en 2024 auprès de 1885 sportifs.
Mais vous savez ce que j’entends parfois autour de moi pour justifier ça ?
Que “les jeunes sont fragiles”. (Je vous laisse imaginer l’âge moyen de ces commentateurs. 🤦)
Alors non.
Les sportifs d’aujourd’hui ne sont pas plus fragiles qu’avant.
Je dirais même le contraire :
Au cours des dernières décennies, la plupart des disciplines se sont tellement professionnalisées que le niveau n’a jamais été aussi relevé.
Entre la pression liée aux résultats, l’exposition médiatique constante, la nécessité de toujours garder une bonne image, le surentraînement, ou encore la peur de l’échec…
Les athlètes d’aujourd’hui sont soumis à un stress incessant et quasi inédit dans l’histoire du sport… Quand bien même les problèmes de santé mentale ne sont pas nouveaux.
En fait, une grosse différence avec le sport d’il y a 20, 30, 40 ans ou plus… C’est qu’avant, on ne parlait pas de santé mentale.
Quand un athlète s’écroulait sous le poids de la pression, on se disait juste qu’il n’avait pas les épaules. Personne ne cherchait à creuser ou à l’aider à aller mieux.
Parce que la santé mentale n’était pas un sujet.
Mais aujourd’hui, la parole se libère.
Des champions comme Michael Phelps, Naomi Osaka ou Florent Manaudou lèvent le voile sur ce qu’ils ont traversé.
Et je crois que leurs exemples suffisent à montrer que la dépression, ce n’est pas un truc de faibles. Mais un mal sérieux et souvent invisible, qui peut toucher tout le monde – même les plus grands…
Tels sont les résultats d’une étude de Harris Interactive, réalisée en 2024 auprès de 1885 sportifs.
Mais vous savez ce que j’entends parfois autour de moi pour justifier ça ?
Que “les jeunes sont fragiles”.
(Je vous laisse imaginer l’âge moyen de ces commentateurs. 🤦)
Alors non.
Les sportifs d’aujourd’hui ne sont pas plus fragiles qu’avant.
Je dirais même le contraire :
Au cours des dernières décennies, la plupart des disciplines se sont tellement professionnalisées que le niveau n’a jamais été aussi relevé.
Entre la pression liée aux résultats, l’exposition médiatique constante, la nécessité de toujours garder une bonne image, le surentraînement, ou encore la peur de l’échec…
Les athlètes d’aujourd’hui sont soumis à un stress incessant et quasi inédit dans l’histoire du sport… Quand bien même les problèmes de santé mentale ne sont pas nouveaux.
En fait, une grosse différence avec le sport d’il y a 20, 30, 40 ans ou plus…
C’est qu’avant, on ne parlait pas de santé mentale.
Quand un athlète s’écroulait sous le poids de la pression, on se disait juste qu’il n’avait pas les épaules. Personne ne cherchait à creuser ou à l’aider à aller mieux.
Parce que la santé mentale n’était pas un sujet.
Mais aujourd’hui, la parole se libère.
Des champions comme Michael Phelps, Naomi Osaka ou Florent Manaudou lèvent le voile sur ce qu’ils ont traversé.
Et je crois que leurs exemples suffisent à montrer que la dépression, ce n’est pas un truc de faibles. Mais un mal sérieux et souvent invisible, qui peut toucher tout le monde – même les plus grands…