Pourquoi fixer des objectifs « irréalistes » est parfois une bonne stratégie mentale

Image de Dorian Martinez
Pierre Gasly a annoncé qu’il visait le titre de champion du monde de F1 en 2026.

Immédiatement, des centaines d’internautes ont commencé à se moquer de lui et à le critiquer :

« C’est bien beau d’avoir des objectifs mais faudrait qu’ils soient réalisables ! »
« Quand il ferme les yeux il est 1er, quand il les ouvre il est 18e. »
« Il est comme Leclerc, il vise mais pas plus. »
« Essaie déjà de gagner des courses ! »
« Un peu d’humilité lui ferait du bien. »…

🤦

Mais en réalité, comme souvent sur Internet, ces critiques passent complètement à côté de l’essentiel.


Car si un athlète a évidemment besoin d’objectifs “réalistes” pour le guider au quotidien…
Il lui faut aussi des objectifs qui le tirent vers le haut.

Qui le poussent à donner le meilleur de lui-même.
Qui le font “rêver” et lui donnent une raison de se lever chaque matin.

Il n’y a que 20 places en F1.

Pendant toute leur vie, ces pilotes se sont battus comme des lions pour mériter leur baquet.

Ils concourent tous pour gagner.

Alors encore heureux qu’un pilote comme Gasly, même après plusieurs saisons, croit toujours en ses chances.

L’ambition, ce n’est pas de l’arrogance. C’est une direction.

Quel que soit votre niveau, vous n’atteindrez jamais les sommets si vous n’osez pas les viser.

 

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