Prenez l’US Open : sur les 128 joueurs du tableau principal, 127 vont perdre un match à un moment ou un autre.
C’est la réalité du tennis. Même à haut niveau, les champions échouent.
Pourtant, beaucoup d’athlètes (mais aussi de spectateurs) continuent de voir la défaite comme une honte, une preuve de faiblesse, presque une faute professionnelle.
Mais la vérité, c’est que “perdre” fait partie de la carrière de n’importe quel joueur.
Même les plus grands n’y échappent pas : 👉 Djokovic : 228 défaites pour 1364 matchs disputés au 27/04/25 (16% de défaites) 👉 Nadal : 228 défaites pour 1308 matchs disputés (17% de défaites) 👉 Federer : 275 défaites pour 1526 matchs disputés (18% de défaites)
Statistiquement, Djoko est LE joueur avec le taux de victoires le plus élevé sur le circuit ATP… Pourtant, au cours de sa carrière, il a quand même perdu plus d’un match sur 7.
Vous pouvez voir la défaite comme un signe de faiblesse, et vous morfondre ou vous énerver quand vous perdez… Ou bien vous pouvez accepter que ça fait partie du jeu.
Ça vaut ce que ça vaut, mais l’expérience m’a montré que les athlètes qui font le second choix gagnent beaucoup plus souvent que les autres.
Parce qu’ils ne se laissent pas parasiter par de mauvaises pensées. Et surtout ils se concentrent beaucoup mieux sur la suite.
Même à haut niveau, les champions échouent.
Pourtant, beaucoup d’athlètes (mais aussi de spectateurs) continuent de voir la défaite comme une honte, une preuve de faiblesse, presque une faute professionnelle.
Mais la vérité, c’est que “perdre” fait partie de la carrière de n’importe quel joueur.
Même les plus grands n’y échappent pas :
👉 Djokovic : 228 défaites pour 1364 matchs disputés au 27/04/25 (16% de défaites)
👉 Nadal : 228 défaites pour 1308 matchs disputés (17% de défaites)
👉 Federer : 275 défaites pour 1526 matchs disputés (18% de défaites)
Statistiquement, Djoko est LE joueur avec le taux de victoires le plus élevé sur le circuit ATP…
Pourtant, au cours de sa carrière, il a quand même perdu plus d’un match sur 7.
Vous pouvez voir la défaite comme un signe de faiblesse, et vous morfondre ou vous énerver quand vous perdez… Ou bien vous pouvez accepter que ça fait partie du jeu.
Ça vaut ce que ça vaut, mais l’expérience m’a montré que les athlètes qui font le second choix gagnent beaucoup plus souvent que les autres.
Parce qu’ils ne se laissent pas parasiter par de mauvaises pensées. Et surtout ils se concentrent beaucoup mieux sur la suite.