Pourtant, elle a récemment annoncé la fin de sa collaboration avec son entraîneur Florian Reynet, qui l’accompagnait depuis 2021.
Vu de l’extérieur, la nouvelle peut surprendre : Souvent, quand un(e) athlète change d’entraîneur… C’est parce qu’il/elle enchaîne les mauvais résultats et cherche à se réinventer.
Mais ici, l’histoire est assez différente.
Même si elle s’est faite éliminer prématurément à Wimbledon et l’US Open…
Loïs Boisson réalise la meilleure saison de sa vie :
👉 Premier carré final en Grand Chelem à Roland-Garros
👉 1er titre WTA 250 à Hambourg
👉 Passage de 361e → 44e au classement WTA
Alors pourquoi changer d’entraîneur maintenant… au moment où elle est en train d’exploser ?
Ses explications juste avant l’US Open :
🗣️ « Ça faisait un moment qu’on avait un peu du mal à se comprendre. […] On a essayé de faire au mieux, on a cherché des solutions toute l’année… On a juste remarqué en arrivant ici que ça ne pourrait pas forcément continuer. C’est juste des détails où on n’arrive pas à faire ressortir le positif de chacun, donc c’est mieux d’en arrêter là. »
Sa confidence me rappelle une chose : Un entraîneur, ce n’est pas “juste” quelqu’un qui donne des consignes techniques ou tactiques.
C’est avant tout une relation humaine.
Et comme toute relation, elle évolue.
Un coach peut être parfaitement adapté à un moment de la carrière d’un joueur… et moins à un autre.
Ça ne remet pas en cause ses compétences.
Mais c’est juste pour rappeler que tout coaching est aussi affaire d’alchimie humaine.
Et c’est pour ça que les plus grand(e)s champion(ne)s réalisent rarement toute leur carrière avec un seul et même entraîneur.
Changer de coach, ce n’est pas un échec. C’est juste une étape normale dans la progression d’un(e) athlète. 📈